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Ce que je fais  de mes  journées

Touche-à-tout ou indécise, dilettante ou exploratrice, vagabonde ou curieuse, tout dépend évidemment du point de vue.

Mais peu importe puisque, comme disait l'autre, l'ivresse l'emporte.

Si j'ai étudié la philosophie pendant huit ans, c'était pour le plaisir de découvrir des mots aussi intéressants que 'phénoménologie', 'transcendance', 'tautologie' et 'dialectique'. Ça ne rentre pas toujours dans les cases du Scrabble, mais ça pose une femme dans un dîner et ça irrigue le néocortex.
Au final, avouons-le, je suis une piètre philosophe, mais je me suis bien amusée. 

 

Un petit détour dans le monde de l'édition, pour faire des fiches, coller des timbres, traduire des ouvrages, en lire beaucoup d'autres voire diriger la publication de certains. Je lis très vite et ça me fut très utile, mais j'oublie tout, immédiatement, et ça c'est plus compliqué.

Personne n'est parfait n'est-ce pas ?

 

Ensuite, direction la publicité, ce monde futile et brillant (dans les deux sens du terme).

J'ai travaillé pour des marques françaises et internationales, j'ai fait des shooting à l'étranger, chopé des miles Air France, et j'ai appris ce que c'était le codage HTML et les plans de roulement. Ça peut servir, on ne sait jamais.

Pendant 12 ans je me suis bien régalée. Il y avait beaucoup d'abrutis mais aussi des gens admirables, dont beaucoup sont devenus des amis. J'ai appris comment tourne le monde et à avoir de l'exigence. C'est ce qu'Hubert Nyssen, qui a fondé les éditions Actes Sud après avoir lui-même été rédacteur pour la publicité (et fondé sa propre agence parce que c'était un sacré bonhomme) m'avait dit : "on y apprend beaucoup" Et il avait raison.

C'est vrai qu'on en apprend beaucoup des hommes quand on doit les convaincre.


Et puis après, zou, direction la campagne, parce que c'est ce que je préfère et que c'est mieux pour y élever des labradors fous et des chats ingrats. 
Ici, en basse-normandie, j'écris des livres, je répare des maisons, je fais du journaliste, je conseille des marques, je leur rédige des contenus aux petits oignons pour qu'elles se fassent connaître parce que ce qu'elles proposent c'est vraiment bien.  
J'ai beaucoup trop de projets et pas assez de temps, mais on s'en fout parce que la vie est belle et qu'on dormira plus tard. 

En dessous, je vous parle de moi à la troisième personne. C'est assez majestueux mais il n'y a pas de mal à se faire du bien.

Ancre 1

(01) Naissance

(02) La Provence

(03) La Martinique

(04) Retour à Arles

(05) Hypokhâgne, Khâgne à Montpellier

(06) un DEA de philosophie

(07) Des petits boulots étudiants

(08) Un peu d'édition

(09) Pas mal de publicité

(10) Le Perche

(11) Des livres

(12) Des missions, du consulting

(13) Retaper sa maison du bonheur

(14) D'autres livres

(15) To be continued

Née en 1975 à Avignon, I.M. Nancy a passé la majeure partie de son enfance à Arles et aux Antilles dont elle est en partie originaire. Autant vous dire qu'il y faisait chaud et beau. 

Aujourd'hui elle partage son temps entre la Normandie et Paris. Autant vous dire que ce n'est pas la même météo.

Après de saines études littéraires, I.M. Nancy ('I' pour Isabelle, 'M' pour un deuxième prénom qu'on vous laisse deviner) a surtout beaucoup travaillé dans la publicité et la communication. 

 

Mais ce qu'il faut retenir de son parcours se résume en cinq points majeurs :

- elle entretient une relation étroite avec les arbres

- elle croit mordicus que les extra-terrestres sont parmi nous

- elle aime Dostoïevski d'amour

- elle a vu Blade Runner plein plein plein de fois

- Vingt deux est son chiffre totem

Bien sûr, l'un de ces assertions est ridiculement exagérée.

Ceci étant dit, elle est aussi l'auteur d'une saga de fantasy, a dirigé la publication de plusieurs ouvrages chez Actes Sud et même traduit des livres sur les chevaux (don't ask), participe à la publication du Magazine du pays du Perche, et bien sûr elle écrit, pour le plaisir et pour le travail, ce qui occupe son temps libre. 

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